Que vous soyez un cinéphile averti ou un simple amateur curieux, cet ouvrage est fait pour vous. Vous y retrouverez 100 ans de cinéma français à travers les plus grands films, les plus grands interprètes, les coulisses du septième art à la française. (Cahiers du cinema, 49,95 euros) |
Vous croyez connaître par coeur les répliques de ce film-culte ? Ne ratez pas ce coffret indispensable contenant le dico des Tontons flingueurs, des caricatures des acteurs ou encore des billets de banque à l'effigie de vos héros. (Hugo et Cie, 28,30 euros) |
Les Studios Universal fêtent leurs 100 ans/ Ce bel album retrace l'histoire de ce studio mythique où furent produit quelques unes de oeuvres majeures du cinéma américain. (La martinière, 45 euros) |
Un escalier. Quoi de plus simple ? Pourtant cet élément d'architecture a pris, au cours des siècles, des formes multiples et a parfois recellé une dimension spirituelle ou symbolique. L''architecture contemporaine s'y montre particulièrement innovante (Citadelles et Mazenod, 80,50 €) |
Retombez en enfance en découvrant la magie de ces cabanes dans les arbres. Quelles soient l'oeuvre d'architectes reconnus ou d'artisans amateurs, ces réalisations possèdent toutes une capacité à nous faire rêver. (Taschen, 50 €)
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Commeny vit-on aujourd'hui en Chine, en Argentine, en Afrique du Sud ou encore aux Etats-Unis ?Comment s'y adapte-t'on au climat, au mode de vie social ? Roland Theron parcourt le monde pour tenter de répondre à ces questions et nous présente 70 maisons représentatives ou atypiques. (La Martinière, 35 €) |
La fin des coupables, suivi de Le cas Paramord
de Pierre-Henri Castel
ed. Ithaque, 34 euros
présentation de l'éditeur :
" Pourquoi implante-t-on aujourd'hui de minuscules électrodes dans le cerveau de certains « obsessionnels-compulsifs » ? Qu'est-il arrivé à la « névrose obsessionnelle » inventée par Freud ?
Où donc est passé le vieux « surmoi » ? Questions étranges, parce qu'elles semblent monter en épingle un épisode infime de l’histoire de la psychiatrie, loin des graves soucis des philosophes pour la folie. Au contraire : elles se tiennent au ras des souffrances secrètes d'un nombre immense de gens normaux, mais angoissés, portés à douter de tout, l'esprit traversé par des obsessions bizarres, et dont la vie est gâchée par de petits rituels dérisoires (vérification, symétrie, etc.).
La réponse se déploie entre deux récits de cure psychanalytique, livrés avec une exceptionnelle richesse de détails : celle d'un patient de Freud, « l'Homme aux rats », en 1907, à Vienne, et celle d'un de nos contemporains, « Paramord ». On y découvre combien devoir assumer subjectivement certains actes (sexuels mais pas seulement) peut devenir un supplice horrible. On y découvre aussi combien la contrainte à agir et à être soi-même aura été une pierre de touche de l'identité de l'individu dans la modernité. Car, de Freud à l'âge de l'esprit-cerveau, le sens de l'intériorité morale et psychique a profondément changé. Et ce que nous ne pouvons pas nous empêcher de faire ou de penser, et qui nous obsède, révèle le coût exorbitant de nos idéaux d'« autonomie ».
Pierre-Henri Castel conclut ici son enquête dans le labyrinthe du XXe siècle. Pourquoi être « civilisé » a pu paraître à ce point odieux à ceux qui ont préféré la barbarie totalitaire ? De quoi souffrait Kafka ? Le conformisme menace-t-il la démocratie ? Pour qui les thérapies cognitivo-comportementales furent-elles inventées ? Comment, enfin, la culpabilité excessive, creuset de l'individuation personnelle en Occident, s'est-elle muée en dysfonction cérébrale ? Pessoa et Canetti, Arendt et Adorno, Melanie Klein, Eysenck et Lacan nous guident et, avec eux, les témoignages poignants d'une foule d'obsédés anonymes."
Le Laboratoire central
de J.B. Pontalis
(ed. de l'Olivier, 18 euros)
Ce livre est un recueil d'entretiens que Pontalis a donné entre 1970 et 2012 à diverses revues. C'est un portrait intime et intellectuel qui se dessine à travers ceux-ci. "Une pensée qui n'existe pas sans l'oeuvre en silence de la langue, sans la mélancolie du langage, sans son charme (...)". Le lien, ou plutôt les liens, avec la littérature y sont particulièrement évoqués. C'est tout autant un J.B. Pontalis écrivain que psychanalyste qui est ici mis en avant.